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, L'homme, tel que le conçoit l'existentialiste, s'il n'est pas définissable, c'est qu'il n'est d'abord rien

, Déclaration universelle des droits de l'homme

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, ) La relation adéquate à son essence, le découvre précisément comme un milieu : on y baigne. L'homme n'a vaincu les éléments qu'en surmontant cette intériorité sans issue

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, Cet État dans le marché correspond aux développements de Thomas HOBBES sur l'état de nature, ou tout ne serait que violence. Il faut alors qu'il y ait des règles pour que le tout soit ordonné. Voir T. HOBBES, Léviathan. Traité de la nature, de la forme et du pouvoir de la république ecclésiastique et civile, p.173, 1999.

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, En outre, s'il est source, il est également but. En effet, le partage des avantages, tel que conçu, est un mécanisme économique à finalité environnementale. En effet, le mécanisme répond du théorème de Coase, selon lequel « dans un monde où les droits de propriété sont clairement définis, le jeu de la négociation aboutit à un optimum indépendant de l'attribution initiale des droits » 183 . Ce qui signifie que l'attribution de droits de propriété ainsi que la conclusion des accords de bioprospection vont contribuer d'une part à un partage économique efficace des avantages tirés de l'exploitation des ressources génétiques, et d'autre part, à une protection la plus optimale possible de l'environnement en conciliant les divers intérêts en cause. L'idée du mécanisme est simple : dégager des ressources afin de protéger et améliorer l'environnement 184 et « encourager et faciliter la libre circulation des informations les plus récentes et le transfert de données d'expérience, L'environnement devient source de la dynamique économique. C'est ainsi que les Lignes directrices de Bonn -sur l'accès aux ressources génétiques et le partage juste et équitable des avantages résultant de leur utilisation -affirment que les conditions du partage des avantages « varieront selon ce qui est considéré comme juste et équitable à la lumière des circonstances, vol.182

, voir s'il n'y a pas ici, d'une certaine manière, l'affirmation d'une inégalité de droits entre les pays en développement, qui auraient un droit plus faible, et les pays développés qui auraient un droit plus fort d'exploitation et de gestion de leurs ressources

P. Blaise, L. P. Paris, and G. Frères, 281 : « Trois degrés d'élévation du pôle renversent toute la jurisprudence, un méridien décide de la vérité ; en peu d'années de possession, les lois fondamentales changent. Le droit a ses époques, 1960.

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E. Bertrand, C. Destais, and . Le-"théorème-de-coase, Pour un éclairage de l'application de ce théorème en droit de l'environnement notamment, voir D. MAINGUY, « Le problème posé par le théorème de Coase, le droit de l'environnement et l'intérêt général environnemental, une réflexion sur les fondements microéconomiques de l'intervention publique, p.112, 2002.

. Ainsi, Eli Lilly verse à Shaman Pharmaceuticals 4 millions de dollars en échange des droits de commercialisation exclusifs dans le monde entier de médicaments anti fongiques élaborés Le contrat de bioprospection comme maïeutique du développement durable transforme donc la nature de l'environnement par le biais d'une systémique développementale. La structure elliptique se dessine peu à peu dans le champ de la confrontation d'intérêts divergents. Au fond, il amène à repenser les liens pluriels qui unissent l'humanité au développement et à l'environnement, 1992.

, Un métissage profond L'homme par son savoir a su s'émanciper et dépasser la simple vie biologique. « Se nourrir par soi-même, se développer et périr » 187 . Elle n'est plus aujourd'hui « l'ensemble des fonctions qui résistent à la mort », 188 mais une « assimilation, offense, violence à l'endroit étranger et du plus faible, oppression, dureté, soumission à ses formes propres, incorporation et, tout au moins exploitation » 189 . L'homme ou la maîtrise de la vie

S. Voir, . Greene, ;. U. Pérou, and . Soolapani, En effet, « toute forme de vie est unique et mérite d'être respectée, quelle que soit son utilité pour l'homme, et, afin de reconnaitre aux autres organismes vivants cette valeur intrinsèque, l'homme doit se guider sur un code moral d'action » 190 . Aussi, la valeur intrinsèque de la diversité biologique, telle qu'affirmée en tête de la Convention sur la diversité biologique attribue à la nature un droit d'existence et place l'homme face à son obligation éthique de partage de la planète avec les autres êtres vivants. Or, « biodiversité » et « nature » ne recouvrent pas la même dimension, la dernière étant plus culturelle et la par des guérisseurs indigènes. Le Healing Forest Conservancy, la filière non lucrative de Shaman, reversera une partie de ses recettes aux peuples et gouvernement ou Shaman était implanté sans que soient dévoilés les montants exacts. Voir V. SHIVA, La biopiraterie, ou le pillage de la nature et de la connaissance, La maîtrise de la vie pose tout d'abord la question de la valeur de la nature. La transition valeur intrinsèque -valeur instrumentale a permis un recentrage de l'homme hors de la nature, pp.109-130, 2002.

T. Aristote, . De-l'âme, L. Paris, and . Philosophique-de-ladrange, 163 : « Parmi les corps naturels, les uns ont la vie, les autres ne l'ont pas ; et nous entendons par la vie ces trois faits : se nourrir par soi-même, 1846.

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, Au sein de cette diversité, par ailleurs, est reconnue la valeur instrumentale des éléments de cette diversité biologique. C'est donc cette valeur d'utilité pour l'homme qui a structuré son rapport à l'environnement, 1982.

, La dimension environnementale aujourd'hui doit s'articuler au sein de l'expression prismatique de croissance durable, c'est à dire d'une perspective de développement garantissant la qualité d'un environnement « au moins non décroissante » 191 . Dans cette optique de conciliation et de guerre pour les ressources 192 , l'attribution de droits sur la nature est essentielle, l'évaluation objective étant impossible. Se comprend ainsi le mécanisme de partage dans sa dimension économique. Les droits de propriété, tels que mis en place, permettent une régulation de l'offre et de la demande par ses acteurs : « en prenant les décisions économiques librement, ces derniers contribuent au bien-être matériel le plus élevé possible » 193 . La marchandisation devient dès lors nécessité

, Leur altérité fonde l'attribution de leurs droits par les sociétés modernes : elles sont autochtones, car ancrées dans un mode de vie traditionnel. Or, à partir du moment où ces populations vont s'inscrire, au moins indirectement dans la logique de marché, quelle identité leur attribuer ? La problématique sérieuse confronte le risque et l'idée. L'idée d'une image de ces populations au risque de les enfermer dans une prison identitaire. D'où la nécessité de repenser les rapports qui relèvent jusqu'alors d'une vision allochtocentrée. Le mécanisme tel que mis en place amène une réflexion sur l'identité de ses populations

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, Il implique la considération d'une unité de l'Humanité, non pas face, mais à côté de la Nature. À ce titre, toute l'Humanité dispose des mêmes droits. À côté de l'inégalité de fait doit persister une égalité de considération juridique entre les différents groupes la composant. D'une conception du jus 195 , apparaît une dimension du justus 196 : « celui qui vaut le plus » ne doit pas « l'emporter sur celui qui vaut le moins » 197 . La justice environnementale doit être le curseur entre développement et environnement, « une sorte de médiété (...) en ce sens qu'elle relève du juste milieu » 198 . Le système consensuel est essentiel et contribue à déterminer la justice dans les relations 199

, Si la lutte contre la biopiraterie passe par un partage des bénéfices, c'est que le mécanisme ouvre les portes environnementales d'une réalité économique. Il permet ainsi l'émancipation d'une domination imposée. Le vivant devient marchandise et la nature lieu de production et d'innovation. L'humanité se divise, révélant les limites du paradigme de la raison. Celui de la passion voit son avènement sanctifié. Raison et passion se conjuguent dans une figure erronée de la réalité où l'essentiel reste de préserver l'humanité et l'environnement. Certes, le droit de propriété « suppose un maître et un esclave

, Riche et brillant de la magnificence de son savoir, l'homme a redéfini les frontières du réel jusqu'à redéfinir la vie et devenir maître du temps, entre tradition et modernité. Le rêve sublime de la conquête de la vie s, L'allégorie du développement durable doit permettre une union du savoir et du pouvoir

. Jus,

, Justus : la justesse

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, Le choix que des êtres rationnels feraient, dans cette situation hypothétique d'égale liberté, détermine les principes de la justice

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