D. ;. Aiken-henry, ;. Boswell-james, ;. William, and . Norman, Introduction" aux Dialogues sur la religion naturelle par Normal Kemp Smith, 1873. DELEUZE Gilles, Empirisme et subjectivité, vol.III, 1935.

, où il lui fait part de ses doutes et de ses hésitations, expliquant qu'il a voulu éviter « cette vulgaire erreur qui consiste à ne mettre que des absurdités dans la bouche de ses adversaires ». Il ajoute que certes Cléanthe est le « héros du livre », mais comment faut-il entendre cette formule ? Ce n'est peut-être là qu'une simple formule de politesse destinée à faire plaisir à son correspondant qui affichait des positions déistes. Il ajoute d'ailleurs : « Pour mon compte, je me réserverai le rôle de Philon que, vous le reconnaissez, je pourrai tenir avec assez de naturel. » Hume aura beau écrire à Balfour, qu'il s'est efforcé de réfuter le sceptique Philon, c'est bien à ce dernier qu'il donne le temps de parole le plus important, de très loin. Le discours Philon, qui devrait être réfuté, couvre plus de cent pages, celui de Cléanthe une trentaine seulement, p.42, 1969.

D. Hume, An Enquiry concerning Human Understanding, p.142, 1902.

;. Nathan-george and . James, ROSSET Clément, Introduction aux Dialogues sur la religion naturelle, Modern Studies in Philosophy: HUME, vol.LXXIII, 1941.

, Bernard Jolibert est professeur émérite en sciences de l'éducation. Après voir enseigné en Ecole normale, en IUFM et à l'Université dans diverses formations, il dirige aujourd'hui le « Groupe de recherche en philosophie de l'éducation » (IUFM de la Réunion). Il a traduit en français les « Conférences sur l'éducation, Agrégé de philosophie et docteur ès lettres