. De-la-mort-;-?]-l'impossibilité-de-donner-sens, et pas suite l'impossibilité d'intégrer la mort à une sagesse de la vie résulte de ce fait que je puis et que je suis même obligé, en raison des signes annonciateurs de la mort que mon expérience ne m'épargne pas, de penser à ma mort sans que je puisse jamais arriver à penser ma mort, ou même à penser la mort d'autrui. Il est impossible que nous ne mourions pas et pourtant il est impossible que la mort devienne pensable

, Tel est le truisme douloureux autant que scandaleux devant lequel nous sommes placés. La mort représente non seulement par rapport à toute vie, mais par rapport à toute pensée l'altérité absolue. » Bibliographie indicative ARIES Philippe, L'Homme devant la Mort, La mort, je puis certes l'attendre, m'y préparer jour après jour, 1977.

. Aries-philippe, . Images, L. Paris, ;. Seuil, . Boutonier-juliette et al., BROHM Jean-Marie, Figures de la mort, GF-Flammarion, 1986. ÉPICURE, Lettre à Ménécée, In Lettres, 1852.

. Lombard-jean, P. Bernard, P. Et-soin, S. Arslan, ;. Roger et al., , 1966.

P. Platon, ;. Et-phèdre, . Roland, and . Jacques, Signification de l'homme, OEuvres complètes, Paris, Gallimard, vol.2, 1950.