, Georges Maisonneuve, qui, en mars de cette l'année suivante, est le premier président de la Ligue réunionnaise à pouvoir assister à l'assemblée générale de la Fédération française de lawn-tennis (FFLT) à Paris. Suivent, en 1976, le sudiste Patrick Isautier pour un long bail de seize ans (quatre mandats !), le Dionysien Jean-Pierre Ah-Kiam en 1992-1994, l'Étang-Saléen Joël Malet en 1994, le Saint-Pierrois Christian Hoarau de la fin 1994 à la fin 2000, et la Saint-Joséphoise Marie-Thérèse Lefèvre depuis cette date. Cette dernière vient, en outre, dimanche 8 février 2009, d'être réélue au comité directeur de la Fédération française de tennis (FFT) pour un troisième mandat. La Réunion est donc, Lui succèdent deux membres du club dominant de l'époque, le BOTC : Charles Bouyac (sans doute en, 196761.

, Les tâches à remplir par une ligue sportive sont diverses. À ses débuts, et concernant un sport encore très peu développé, on a envie d'écrire que tout 59. En fait, fin 1960, Georges Bordes et Dominique Sauger, présidents respectivement du TCBLS et du TCD, réunissent six des sept présidents de clubs existants pour constituer une Fédération départementale de tennis qui devient provisoirement, le 15 décembre, pp.14-15, 2000.

, Pour des précisions sur son action dans le sport en général, voir Pader, 1998.

. Voire-avant-selon-jean-yves-gaud and . Tom, , p.116, 2000.

. Cf, Journal de l'île de la Réunion

J. Témoignage-de and . Gaud, , p.116, 2000.

, et au Tampon, avec un réel succès puisqu'environ 350 enfants en bénéficient, dont 200 rien qu'au BOTC et au TCD, les deux grands clubs dionysiens. Cette année-là, la formation des éducateurs est encadrée par le conseiller technique régional (CTR) de la Ligue de Lorraine, François Jehl, et, comme elle a lieu au BOTC, la Ligue n'hésite pas à proposer une aide au logement aux candidats, presque tous enseignants, qui habitent loin de Saint-Denis. Le CTR métropolitain donne des cours ayant trait à la technique du tennis, certes, mais surtout à sa pédagogie, et aborde des questions diverses lui permettant de brosser un large panorama de la pratique du tennis : arbitrage, tactique, comportement en match notamment. Le 1 er février 1979, la LRT se dote pour la première fois, comme les ligues métropolitaines, d'un CTR : Serge Ghis. Il le restera jusqu'en 1996 et ne sera remplacé qu'en 1999 par Claude Plateau. Parallèlement, le nombre de moniteurs diplômés « explose » : de trois en 1982, leur nombre augmente rapidement à 18 en, ment de savoir quelles sont alors les orientations prioritaires, à savoir la création de nouveaux clubs et de nouvelles écoles de tennis. De fait, sous l'égide de la Ligue et de la Direction départementale de la Jeunesse et des Sports, des stages d'éducateurs 1 er et second degrés 68 animés par François Landrieu, le premier moniteur titulaire du brevet d, vol.46, p.91, 1986.

, Les seconds sont au minimum classés 30

, Chiffres communiqués par Emmanuel Brard, CTR depuis septembre, 2004.

«. Tennis-info, Avec Pascal Chabernaud, son site prend une dimension intéressante en 2005, mais son animateur, par ailleurs président du Sainte-Marie TC dont il a aussi créé le site Internet, abandonne au bout de moins de deux ans d'efforts. Le site, repris en mai 2008 par l'auteur de ces lignes, est alors entièrement refondu et suis désormais l'actualité au plus près. Entre magazines fort modestes et à la parution quelque peu aléatoire et site Internet encore peu visité 72 , la communication de la Ligue, peut-être trop dépendante de la bonne volonté de certains de ses membres, est, on le constate, bien souvent très problématique. Le problème aurait été moins grave -et même tout à fait secondaire -si les médias réunionnais ne boudaient pas depuis si longtemps le tennis local. Après tout, on ne parle jamais de la capacité à communiquer de la Ligue réunionnaise de football, et pour cause : ce sport envahit les pages des sports. Le problème, en ce qui le concerne, serait, non la pénurie d'informations, mais plutôt le trop-plein. En outre, la presse s'est longtemps résumée, en vérité, à un seul titre digne de ce nom : Le Journal de l'île de la Réunion, Témoignages, l'organe du Parti communiste réunionnais, ne s'intéressant guère au sport, a fortiori à un sport réputé bourgeois, guère moins, du reste, que d'éphémères et très modestes publications hebdomadaires comme La Gazette de la Réunion ou Le Créole. Le Quotidien de la Réunion n, Elle réalise même un Annuaire 1977-78 qui tente de faire le tour de la pratique du tennis à la Réunion : règlements, clubs, principaux résultats, etc. Cette expérience est reprise puis pérennisée au début des années 2000 sous le titre de Guide LRT, 1990.

, Et même s'il reste surtout pratiqué par les couches moyennes et supérieures, il concerne aujourd'hui toute la société. Avec l'augmentation prévisible du temps des loisirs, d'une part, et celle des revenus de la majorité de la population, d'autre part, son développement potentiel reste important. Peutêtre faudrait-il qu'un grand nom du tennis mondial se dégage des nombreux jeunes espoirs qu'il forme pour qu'il soit plus connu ou, à tout le moins, reconnu comme une composante essentielle du paysage sportif de l'île ?, Sport colonial. Une histoire des exercices physiques dans les colonies de peuplement de l'océan Indien, 1996.

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