. Sartre-jean-paul, L'Idiot de la famille, p.489, 1971.

. Gay-jean-christophe, Géopoche, Les Discontinuités spatiales, 1995.

T. R. Iv, , p.490

, Libre examen", ont révélé ces craintes qui aboutissent au refus, dans les milieux littéraires, des analyses menées par les sciences sociales sur la littérature en particulier et l'art en général, Les débats et les faux procès faits à Pierre Bourdieu, à propos de son livre paru en 1992 sur le champ littéraire, Les Règles de l'art

, Antoine Compagnon note qu'il existe actuellement plus de deux mille livres sur Proust et plus de dix-sept mille références selon la Société des amis de Marcel Proust. Le fichier de la Bibliothèque nationale dénombre plus d'ouvrages sur Proust que sur Napoléon ou de Gaulle !, La, 1992.

L. Lieux-de-mémoire, . Paris, and . Gallimard, Bibliothèque illustrée des histoires, p.932

. Ferré-andré, Géographie de Marcel Proust, 1939.

C. De and . Michel, Un autre géographe s'est intéressé à Proust : Lucien Goron, géomorphologue, qui a fait une conférence en 1948, publiée par sa veuve à titre posthume, sur Le Combray de Marcel Proust et son horizon, La littérature dans tous ses espaces, 1993.

;. Poulet-georges, . L''espace-proustien, G. Paris, ;. Voir, and . Newman-gordon-patricia, On peut aussi se reporter au travail de Claude Pichois, Dictionnaire critique des idées dans l'oeuvre de Marcel Proust, vol.12, p.51, 1952.

. Tadié-jean-yves, Proust et le roman, 1971.

, Julien Gracq remarque que l'écoulement temporel est fonction de la densité de la substance romanesque : GRACQ, Proust considéré comme terminus suivi de Stendhal, p.237, 1986.

C. Quémar, Sur deux versions anciennes des "côtés" de Combray, Cahiers Marcel Proust, nouvelle série, vol.7, p.40, 1975.

, Léon Daudet note d'ailleurs, dans ses souvenirs, que Marcel Proust déteste la campagne in. Salons et journaux, p.47, 1917.

, Dans sa course effrénée pour terminer son oeuvre, il s'est mis hors du temps, en travaillant la nuit, et hors du monde en coupant, petit à petit, ses liens avec le reste du monde, dont la résiliation de son abonnement téléphonique par exemple, Céleste Albaret révèle que Proust a passé la plus grande partie de ses dernières années dans sa chambre totalement isolée de l'extérieur, pp.114-119, 1973.

T. R. Iv, . Voir, and . Michel, Répertoire II, vol.35, pp.103-105, 1964.

. Richard-jean-pierre, Proust et le monde sensible, vol.37, pp.381-382, 1974.

. Barthes-roland, Plus érudite, la recherche de Eugène Nicole confirme globalement les remarques de Barthes en montrant que le nom est un élément de la démonstration esthétique et sociale de l'oeuvre : NICOLE Eugène (1984), Genèses onomastiques du texte proustien, vol.12, p.381, 1972.

. Voir-À-ce and . Gilles, Proust et les signes, p.623, 1964.

L. Verre, Il ne pouvait plus les toucher et était obligé de les admirer à travers la vitre de la portière de son véhicule, en raison de l'asthme dont souffrait Proust, fut à la fin de sa vie le médiateur de son amour pour les fleurs, p.618

T. R. Iv, Il est intéressant de souligner que Proust occupait, dans un établissement très particulier, une chambre centrale à partir de laquelle, à travers une fenêtre à vitre dépolie, il pouvait contempler ce qui se passait dans les couloirs et les salles de bains. Le voyeur fait place à l'observateur au Ritz où Proust, dans une loge vitrée, pouvait observer le va-et-vient des gens de l'hôtel selon MENDELSON Daniel, Le Verre et les objets de verre dans l'univers imaginaire de Marcel Proust, p.394, 1968.

. Voir and . Gaston, L'Eau et les rêves, p.36, 1942.

J. F. , Il faut souligner que dans un texte bien antérieur, Les Plaisirs et les jours, c'est l'harmonie entre le ciel et la mer qui est évoquée, vol.II, p.298

. Voir-sur-le-thème-du-chemin-de-fer-dans-la and M. Baroli, Le Train dans la littérature française, Faculté des Lettres et Sciences humaines de l'université de Paris, 1963.

J. F. , , vol.II, pp.16-18

J. Santeuil, , vol.243

, Madame Verdurin a aussi une telle trajectoire sociale puisqu'elle devint, après un premier veuvage, duchesse de Duras, et, après un second, p.268

. Cf, Vitesse et regard, Géographie et Cultures, n°8, pp.33-50, 1993.