, Quelques éléments clés sont à souligner : -plusieurs indicateurs (dont l'évolution du nombre de « demandes de mutation », de « congés de maladie » ou de « mesures d'exclusion ») traduisent la persistance de tensions plus ou moins vives liées à des « incompréhensions » ou à des « insatisfactions, lieux » prenant en considération le point de vue des attentes et des représentations

, -la confrontation des univers en présence, qu'il s'agisse de normes ou de codes de socialisation, attire l'attention sur des divergences d'appréciation, de plus en plus marquées, touchant à la « visibilité » et à la « gravité

, -les réponses apportées par l'institution apparaissent « fragmentaires » et « timorées », débouchant sur des « effets pervers

, la valorisation de l'image de marque de l'établissement est une oeuvre de longue haleine nécessitant la définition d'un projet d'ensemble cohérent et fédérateur, où chacun puisse jouer sa partition à bon escient (aide au travail personnel, ateliers d'éducation à la sociabilité

B. Références-bibliographiques, Ville et violence. L'irruption de nouveaux acteurs, 1993.

. Defrance-b, . Paris, . Syros, and . Douet-b, Discipline et punitions à l'école, 1987.

. Ferréol-g, Intégration, lien social et citoyenneté, 1998.

J. Hébert, La Violence à l'école. Guide de prévention et techniques d'intervention, 1991.

. Hellbrun-r.-et and . Pain-j, Les griefs s'adressent tout autant au personnel de cuisine (les repas ne faisant guère saliver) qu'aux enseignants (souvent « désabusés » ou « démunis ») et à l'équipe de direction (suspecte d'« immobilisme »). La condamnation n'est cependant pas systématique et des motifs d'espérer existent (projet « Petit déjeuner, 1992.