. Cf and E. Dick, « Ein Grosser Plagiator », dans Sonntagsblatt der Basler Nachrichten, I, pp.170-171, 1906.

, « Quelques sources ignorées du Voyage en Amérique de Chateaubriand », dans Revue d'histoire littéraire de la France, pp.228-245, 1906.

. Cf, J. Bédier, and . Chateaubriand-en-amérique, Cet ouvrage est accessible aux Archives départementales de la Réunion, vérité et fiction », dans Études critiques, 1903.

J. Ne, R. Switzer, and M. Chateaubriand-;-regard, Toutes les citations du texte de Chateaubriand sont faites d'après l'édition de la Pléiade, OEuvres romanesques et voyages, Paris, Gallimard (« Pléiade »), vol.2, pp.595-972, 1964.

. Ainsi, le seul serpent de ce type jamais vu en Amérique a été découvert aux environs de 1762, ce que Chateaubriand rend par le tour litotique et évasif : il est « peu commun ». Et là où le voyageur anglais se montrait des plus circonspects, ne sachant dire s'il s'agissait d'un représentant d'une espèce véritable ou d'un accident génétique

. Mieux, il parle des deux têtes de l'animal, mais se garde bien de préciser que celles-ci sont attachées à un même cou 18 . C'est très méthodiquement qu'il

J. Bédier-produit-le-passage-concerné-du-livre-de, P. E. Bonnet-;-dans-bédier, and J. Op, « Il est douteux que le serpent à deux têtes forme une espèce, pp.226-227

R. Switzer and . Op, , vol.II, p.216

J. Carver, Travels, 1779, p.216

J. Oraz-reta and M. A. Marquos-casquero, J'en connais au moins deux exemples récents. Le premier est signalé par les éditeurs espagnols des Étymologies : « Queremos recoger aquí una curiosa noticia publicada por La Vanguardia, de Barcelona (16 sept. 1980)

L. E. Madrid and . Catolica, Quant au second, je le tiens du journal Le Matin de Paris (aujourd'hui disparu), en date du lundi 18 avril 1983. Le journal se faisait l'écho de la « nouvelle rapportée par l'agence Novosti de l'acquisition par le musée zoologique d'Ukraine d'un serpent à deux têtes » et précisait : « Selon les savants soviétiques, cette malformation est due à une anomalie au cours du développement embryonnaire de l'animal. » Une photographie du serpent, sur laquelle on voit bien les deux têtes, l'une un peu plus petite que l'autre, vol.46, pp.84-85, 1983.

J. , désignait un serpent ailé dont la queue porte une seconde tête. Or, dans les Mémoires, au chapitre 7 du livre premier, dans lequel Chateaubriand décrit le château de Combourg, il est question d'un salon qui devait fort impressionner le tout jeune seigneur du lieu : « Au-dessus de ces pièces était le salon des Archives, ou des Armoiries, ou des Oiseaux, ou des Chevaliers, ainsi nommé d'un plafond semé d'écussons coloriés et d'oiseaux peints, Moulinier, G., éds, Chateaubriand. mémoires d'outre-tombe, p.44, 1957.

. Cf and P. Barberis, 36 : « Le Voyage en Amérique constitue, comme texte et comme expérience, l'étage le plus ancien de la réaction de, 1976.