, c'est une contribution du génie de la femme à la littérature orale des Comores. Nul ne peut rester insensible à l'émotion qui se dégage de ces textes et de leur mélodie. Paroles et musiques traditionnelles, les berceuses nous touchent parce qu'elles évoquent tous les enfants des îles Comores, les nôtres, et nous-mêmes, bref notre enfance et notre jeunesse. Enfin Balolo, l'autre aspect des berceuses, comme voie d'accès à la liberté d'expression et d'opinion et d'une prise de conscience et de sensibilisation à la violence, La berceuse a pour but d'apaiser un enfant, de lui procurer de l'affection ou de la tendresse, bref un bon début de veille éducative, p.96, 2004.

A. Daniel, D. Dit-café-professeur-des-Écoles, &. De-l, . Inalco, B. Paris et al., La littérature comorienne de l'île d'Anjouan. Essai de classification et de traduction des genres littéraires oraux et écrits, Études Africaines, 2000.

B. Ali, M. Damir, . Et-société-aux-comores, . Komédit, . Cndrs et al., Une tribune libre pour les femmes, pp.45-49, 2002.

N. J. Gueunier, . Le, and . Roi, Peeters, Selaf, vol.384, 2001.