, Le riz se présente comme la « culture reine », aussi peu rentable soie-il, et la pomme de terre « la culture maîtresse-relais », dans les rizières et sur les versants. L'élevage connaît une évolution composite, avec un élevage porcin intensif et un élevage bovin resté semi-extensif. L'élasticité et la mobilité de l'habitat tendant vers le modernisme, à l'intérieur comme à l'extérieur de la commune, témoignent en faveur du dynamisme du paysage rural. Ceci étant, l'étude des principaux aspects du finage a révélé, à bien des égards, que la caractéristique physique ne peut être nécessairement assimilée à l'enclavement ou à une barrière infranchissable au dévelop pement. Au contraire, le dispositif des terroirs reflète les signes d'une relative maîtrise du milieu naturel par l'homme. Toutefois, hormis ces indicateurs dynamiques, le paysage porte également en lui les empreintes d'une situation de crise qui perdure, en témoigne la décrépitude de certaines habitations, la valorisation des rizières par la culture de contre-saison en saison fraîche et le terrassement des parcelles sur les tane ty . Les limites de la production rizicole ont imposé des terroirs sur les tane ty des versants, suivant le principe extensification/ intensi fication
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