, El isabeth qui passèrent quatre-vingt un ans chez les Mégamicres, habitans aborigènes du Protocosme dans l'intérieur de notre globe, Spoleto, Argencieri, 1928. L'édition citée reproduit oeUe de Prague {Imprimerie de I' ?cole normale, s.d, 1788.

. Voir, The Description of a New World, Cafled the Blazjng World (1666) de Macgarech Cavendish, pp.735-1738

, me la divine harmonie de leur musique est, outre celui de l'ouïe, toute la peau qui couvre leur corps, au point que ceux qui sont décorés de toges, de manteaux, d' exomides, s'en dépouillent souvent pour jouir entièrement de sa beauté, et pour lui ouvrir tous les chemins qui peuvent la faire aller en droiture à leur :1.me » (II, 99). La perception épidermique des sons est en effet le sixième sens

C. Marrone, , p.195

. Sur-l'univers-multicolore-de-casanova, ) qui rappelle, entre autres, l'intérêt du siècle des Lumières pour l'optique et les tentatives du père Castd pour créer une équivalence entre le son et la couleur grâce à son fameux « clavecin oculaire, la précision des notations des couleurs et leur interprétation, cf. Béatrice Didier ( « Les couleurs dans l'Icosarneron : éloge du rouge, p.262, 2002.

, La rhématique des couleurs chez Condillac -dont Casanova pourrait s'être inspiré -a été étudiée par René Démoris (« Condillac et la peÙ)ture, Casanova devait être au courant de ces « correspondances » baudelairiennes avant la lettre qui ont bénéficié de plusieurs commentaires prestigieux (Diderot en parle dans l' Encyclopédie et dans la Lettre sur kr sourds-mum et Voltaire dans les Ékments de la philosophie de Newton), comme le relève Charles Porsct dans ses notes à l' Essai sur l'origine des langues de Rousseau, p.385, 1970.