, Les écoles du Moyen Age et de la Renaissance étaient « vraiment communes et ouvertes à toute la jeunesse de tous les pays » et la langue de la science n'était « qu'une dans l'univers, parmi tous ceux qui se consacraient aux études, p.13

. Ibid, , vol.65, p.15

, « Des Devoirs de l'Académicien, Discours prononcé dans l'Académie royale des Sciences et Belles Lettres », in Oeuvres, pp.283-302, 1965.

, On peut citer deux ou trois hommes célèbres, qui, dans les pays limitrophes de la France, ont écrit en français, d'une manière supportable. Ce que nous disons ne saurait être affaibli par ces rares exceptions. » (Note I de la page 19 du

, L'auteur cite en note les Géorgiques, p.15

«. Voilà, L. Sire, and . Forme, de langage latine que nous devons présenter, ou plutôt transmettre à nos nouveaux citoyens, appuyés non pas tant sur nos modiques travaux que sur ceux de nons devanciers, p.67

. Ibid, est l'erreur dans laquelle est tombé l'abbé Olmo en prêtant un avenir au latin. Il ne savait pas commettre là un contresens historique. D'autres, qui plaçaient leurs espoirs dans l'une des langues modernes de l'Europe, avaient, bien avant lui, vu bien plus loin que lui. C'est sans doute aussi la raison pour laquelle ce projet, 75. Ibid. moyen de communication internationale, vol.76, p.66

F. Charles, Cités ouvrières, Des Modifications à introduire dans l'Architecture des Villes, p.1849

J. Ijsewjin and D. Et-sacré, « The ultimate efforts to save latin as the means of international communication, vol.16, pp.51-66, 1993.

L. Globe, , vol.61, pp.27-1825

J. De-maistre and D. Pape, Jacques Loire et Joannès Chetail, 1817.

, Des Devoirs de l'Académicien, Discours prononcé dans l'Académie royale des Sciences et Belles Lettres, 1965.

, Lettre sur le Progrès des Sciences, Oeuvres

M. Olmo-miguel, De Lingua latina colenda, et Civitate latina fundanda?, Tolosa Typis J. M. Douladoure, p.1816

M. Olmo-miguel, Traduction avec le Texte en Regard, de l'Adresse latine signée par plusieurs Professeurs et Gens de Lettres, et présentée à S.M. Louis XVIII, le 22 octobre 1821, sur le Projet de la Fondation d'une Ville latine, par le moyen d'une Souscription européenne, p.1824

W. Françoise, L. Latin-ou-l'empire-d'un-signe, A. Xvi-e--xx-e-siècle, and . Michel, , 1998.

J. Ijsewjin and D. Sacré, « The ultimate efforts to save latin latin as the means of international communication, vol.16, pp.51-66, 1993.