, fondé sur l'inégalité entre les hommes (Les nationalistes malgaches auront ainsi beau jeu de comparer le SMOTIG à une nouvelle forme d'esclavage)

, aura sans doute été le grand échec, tant de la monarchie que de la puissance coloniale, qui n'y ont vu qu'un instrument de politique intérieure, plutôt qu'un élément permettant de construire réellement une nouvelle société, un outil favorisant une véritable modernisation de la société malgache

L. 'esclavage-À-madagascar,

D. , J. P. , and J. Ralaimongo, 1884-1943) ou Madagascar au seuil du nationalisme », Revue française d'Histoire d'Outre-Mer, vol.204, pp.236-287, 1969.

F. and M. I. , « La servitude pour dettes », Revue historique de droit français et étranger, XLIII, pp.159-184, 1922.

G. , F. «-l'ambassade-malgache-en-angleterre, and F. En, un parcours initiatique vers la modernité, vol.9, pp.140-150, 2012.

R. B. and J. P. , « Aspects de l'esclavage sous la monarchie merina d'après les textes législatifs et réglementaires », Omaly sy Anio, vol.15, pp.53-98, 1982.

R. R. , Les Malgaches et l'abolition de la traite européenne des esclaves (1810-1817), vol.279, 1999.