La violence dans le regard. La photographie en périodes de conflits - Institut Mines-Télécom Business School
Communication Dans Un Congrès Année : 2022

La violencia en la mirada. La fotografía en periodos de conflictos

La violence dans le regard. La photographie en périodes de conflits

Résumé

Esta contribución constituye una prolongación de una presentación realizada dentro del marco del Coloquio internacional sobre la Culpabilidad organizado por la Trent University (Canadá) entre el 13 y el 15 de mayo 2022, basada sobre la puesta en comparación de escenas de la última película de Pasolini, Saló o los 120 días de Sodoma (1975) con testimonios de las detenciones, de las torturas, de las ejecuciones cómo de la vida cotidiana dentro de esos Centros Clandestinos en Argentina entre 1973 y 1983. Se retomó pues esta estructuración estética de la violencia basándose esta vez sobre un corpus de fotografías tomadas por un fotoperiodista en misión, en situaciones de crisis, cuyo saber práctico, su arte, elaboró re-presentaciones estéticamente productoras de sentimientos y de sensaciones expresadas en las miradas captadas de los seres fotografiados. Se tratará pues de proponer una tipología fenomenológica centrada en las miradas, tanto las del fotógrafo cómo las de los « blancos disparados» tanto en el tiempo cómo en el espacio. Serán determinadas pues las características de la articulación objectivada entre el acto creador de la imagen y la violencia social-institucional ejercida sobre los cuerpos y los espíritus y el objetivo de su visualización : sus re-presentaciones como experiencias existenciales para transmitir como información.
Cette contribution se situe dans la prolongation d’une présentation que nous avons réalisé dans le cadre du Colloque international sur la Culpabilité organisé par la Trent University (Canada) entre les 13 et 15 mai 2022, qui a reposé sur la mise en perspective comparée de scènes du dernier film de Pasolini, Saló ou les 120 jours de Sodome (1975) avec des témoignages d’arrestations, de tortures, d’exécutions, comme de la vie quotidienne, dans ces Centres Clandestins de Détention en Argentine entre 1973 et 1983. A été reprise cette structuration esthétique de la violence en se basant cette fois-ci sur un corpus de photographies prises par un photojournaliste en mission, en situations de crises, dont le savoir-faire, son art, a élaboré des re-présentations esthétiquement productrices de sentiments et de sensations exprimés dans les regards captés des êtres photographiés. Il s’agira d’en proposer une typologie phénoménologique centrée sur les regards tant du photographe comme des « cibles shootées » dans le temps et l’espace. Seront de la sorte abordées les caractéristiques de l’articulation objectivée entre l’acte créateur de l’image, la violence sociale-institutionnelle exercée sur les corps et les esprits et l’objectif de leur visualisation : leur re-présentation en tant qu’expériences existentielles à transmettre en tant qu’informations.
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La cruauté de la société du Centro Clandestino de Detención CCD en Argentine pendant la dernière dictature 1975_1983.pdf (311.72 Ko) Télécharger le fichier
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hal-04749462 , version 1 (23-10-2024)

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  • HAL Id : hal-04749462 , version 1

Citer

Gabriel Périès. La violence dans le regard. La photographie en périodes de conflits. De la culpabilité. Une notion aujourd'hui bafouée, Trent University, May 2022, Peterborough, Canada. ⟨hal-04749462⟩
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