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, En fin de compte, peut-on parler d'une éthique animale sans commettre d'anachronisme ? Si la prudence reste de mise, il n'en est pas moins vrai qu'une réglementation juridique et religieuse a existé dans les cités et les sanctuaires en ce qui concerne le bétail, l'abattage des animaux sacrificiels, l'usage de chiens gardiens des sanctuaires, les soins et l'entretien apportés aux chevaux de guerre, mais sans qu'il soit jamais explicite que cette attention ait concerné le traitement qu'on leur devait. Les animaux de « compagnie » ne se voient honorés de preuves d'affection-des tombes personnelles et des épitaphes-que tardivement, et ce phénomène s'amplifie par la suite aux périodes romaine et byzantine. L'abondance des images animalières démontre indéniable, vol.54

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