. Oui, ton horreur me plaît ; je frisonne, et j'admire (I, 88)

. Mais-l-'«-autre-Île-»-peut-Être-aussi and . Dans-le-poème, Projet de solitude » (I, 41-42), une construction mentale entièrement imaginaire, une utopie compensatoire où fuir les contraintes de l'île réelle : Là je ne craindra plus un père inexorable. C'est là qu'en liberté tu pourras être aimable Et couronner l

. Au-large-de-l-'île-véritable, inaccessible (« interdite aux vaisseaux, et d'écueils entourée »), miniaturisée et ramenée à la mesure du couple qui l'habite, puisqu'en une demijournée on en fait le tour, l'île rêvée où les amants vivent librement leur passion recrée le vieux mythe de « l

. Viens, Amour jusqu'au port conduira deux amans (I, 42)

J. Voir-la-lettre-liv-de-la-première-partie-de-saint-preux-À, J'arrive plein d'une émotion qui s'accroît en entrant dans cet azile. Julie ! me voici dans ton cabinet, me voici dans le sanctuaire de tout ce que mon coeur adore. [?] Toutes les parties de ton habillement éparses présentent à mon ardente imagination celles de toimême qu'elles recellent, pp.146-147, 1961.

. Voir-bernard-lecherbonnier and . La-sensibilité-de-parny, « Le moment qu'il s'efforce de fixer est donc bref comme l'éveil des sens, bref comme le délire qui s'ensuit. Il est fasciné par ce passage du désir de sentir à la sensation : "L'impatience me dévore". [?] Le poète rappelle l'homme de marbre auquel Condillac a conféré le pouvoir de sentir. Il est cet homme qui, par le truchement de la sensation, La Réunion, vol.22, pp.117-198, 1965.